COMMENT CE PAPA S’Y PREND POUR CRÉER UN MONDE MEILLEUR

La nature a toujours occupé une place importante dans la vie de Kurt Weppler. Quand il était enfant, il apercevait régulièrement des hiboux, des porcs-épics et des renards sur les terres de ses parents, un peu au nord de Calgary. S’il n’était pas dehors en train d’attraper des grenouilles, vous le trouviez sur le divan, en train de feuilleter un National Geographic ou de regarder un documentaire de David Attenborough.

Kurt, Yéil, and Genie Wepple
Kurt, Yéil, and Genie Weppler. © Kurt Weppler

Aujourd’hui, l’ingénieur informatique vit toujours à Calgary – et la nature occupe toujours une grande part de sa vie. Une journée parfaite peut signifier une randonnée dans les montagnes, ou une chevauchée dans les vallons des collines Kananaskis avec sa fille de sept ans passionnée de chevaux. Ou simplement observer les bourdons qui visitent la lavande ou les fleurs des champs qu’il a plantées près de son entrée.

« Il y a toujours des douzaines d’abeilles quand il fait bon, dit-il. Et j’aime m’asseoir là et les regarder travailler. » Il a transmis cette passion pour les pollinisateurs à sa fille. Bien qu’il soit habituellement difficile de capter son attention, elle entre pratiquement en transe à chaque fois que la famille visite l’exposition des papillons au Zoo de Calgary.

Mais Kurt Weppler ne peut s’empêcher de s’inquiéter du monde dont elle héritera, qui ne sera plus aussi riche. Il identifie la crise climatique, le peu de prairies herbeuses restant au pays et le fléau de la pollution de l’océan par le plastique. Il se sent privilégié que nous ayons encore tant de nature sauvage chez nous – bien plus que dans la plupart des pays. Mais il comprend avec quelle facilité elle peut être dégradée et la vitesse à laquelle elle peut disparaitre si on la tient pour acquise. « Je veux faire ce que je peux pendant que j’en suis capable, » dit-il.

Rendre les solutions possibles

C’est pourquoi Kurt est devenu donateur mensuel du WWF-Canada en 2014. Malgré les dommages infligés à la nature par les humains, il sait que nous avons la capacité de transformer les choses.

« Prenez la région de la Patagonie au Chili, dit-il, où de vastes étendues de couloirs interconnectés pour les espèces ont été protégées. » Il croit aussi qu’il est vital d’impliquer les groupes autochtones dans le processus. C’est quelque chose qu’il apprécie à propos de l’approche de la conservation par le WWF – surtout que son épouse et sa fille sont Autochtones.

« Vous ne pouvez pas juste arriver dans un territoire et réserver des terres de force, même si vous avez de bonnes intentions, dit-il. Vous devez consultez les communautés locales… travailler avec elles et ne pas juste arriver et dire « nous avons toutes les réponses. » »

Faire un don durable

Yellow-banded bumble bee on a pink fireweed flower.
© allan7 / iNaturalist.org (CC0)

L’an dernier, Kurt a approfondi son soutien en incluant un legs au WWF-Canada dans son testament. Il n’est pas préoccupé par la pérennité de son nom. Il croit qu’un vrai héritage signifie de laisser le monde dans un meilleur état que lorsqu’il est arrivé.

Il veut s’assurer que des animaux emblématiques comme les éléphants et les rhinocéros continuent d’exister pour que sa fille puisse s’émerveiller de leur présence. Il veut s’assurer que les bourdons et les papillons continuent leur travail vital de pollinisation. Et il veut s’assurer que nous puissions continuer de profiter de l’incroyable richesse d’espaces naturels que nous avons le privilège d’avoir au Canada.

En faisant un don testamentaire, Kurt confie au WWF-Canada la création d’un avenir plus radieux, plus durable, pour sa fille et les autres générations à venir – et s’assure que sa contribution perdure.

« C’est une petite bonne action de plus dans le monde, et je peux la faire, » dit-il.

Choisir de célébrer la mission du WWF-Canada avec un don testamentaire est la façon parfaite de faire durer votre attention et votre compassion envers la nature. Pour en savoir plus, visitez wwf.ca/volontedefaire.