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Québec

Doté de grandes régions nordiques ayant le potentiel de demeurer stables durant un dérèglement climatique, le Québec doit toujours s’assurer que de nouvelles aires protégées soient bien connectées pour créer des corridors pour la migration des espèces.

Bien que la province soit truffée de petites aires protégées, il y a de claires lacunes au chapitre de la connexion entre celles-ci. Le nord du Québec a de grandes quantités de carbone dans le sol et des refuges climatiques, mais des lacunes dans le réseau des aires protégées de permet pas de relier les différentes régions. Dans le sud, les régions qui longent le fleuve Saint-Laurent sont prioritaires étant donné le chevauchement de quatre considérations principales : le haut taux de carbone emmagasiné dans les sols, la biomasse forestière, les refuges climatiques et un grand nombre d’espèces en péril. Cette région est soumise à un grand stress de la part de l’agriculture et de l’urbanisation. Puisque le terrain de cette région au sud appartient de façon prédominante à des propriétaire privés, la protection par d’autres mesures de conservation valides est nécessaire pour préserver les espèces.

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