En considérant le fait que le Nouveau-Brunswick a l’un des pires résultats provinciaux en termes de représentation écologique et que les habitats physiques de grande valeur en matière de refuge climatique et de séquestration de carbone sont mal protégés, la province pourrait grandement avantager les espèces et atténuer le dérèglement du climat avec de nouvelles aires protégées stratégiques.
Le Nouveau-Brunswick a le deuxième pire résultat en représentation écologique parmi les provinces, avec seulement 1 % des habitats physiques adéquatement protégés. Cela est dû en partie au faible pourcentage d’aire protégée dans la province, puisque seulement 5 % du territoire est protégé. Le bassin versant du fleuve Wolastoq, aussi connu comme Saint-Jean, est particulièrement préoccupant dans la province, puisque presque tous les habitats physiques au sein du bassin versant sont protégés de façon inadéquate ou ne le sont pas du tout. La portion nord du bassin versant contient des refuges climatiques et des sols à haute teneur en carbone, alors que la portion en aval contient de grandes densités de biomasse forestière et d’habitats pour en plus grand nombre d’espèces en péril.
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Les pressions humaines sur le Wolastoq ajoutent au stress de ce bassin versant qui abrite près de 200 espèces d’oiseaux nicheurs et près de 100 espèces de reptiles, d’amphibiens, de poissons et de mammifères, dont la tortue des bois qui a le statut d’espèce menacée.
Vous pouvez aider à protéger les espèces en péril et leurs habitats
